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Aujourd’hui, je vous invite à fermer les yeux. À vous asseoir confortablement et à visualiser le nom de votre compagnie. Que ce nom soit votre propre nom, le nom d’une marque ou le nom d’une société. 

Pendant que vous visualisez, ressentez l’énergie de votre entreprise, son âme. Observez les points forts et accueillez toutes les pensées et les émotions que vous pouvez ressentir. 

Peut-être l’avez-vous déjà vu sous cet angle, mais si vous ne l’avez jamais fait, ouvrez-vous à la possibilité que votre entreprise ait une énergie bien à elle, sa propre âme. 

Tout ce que l’on crée a sa propre énergie, sa force, son identité. Que ce soit une maison, un bureau, un objet d’art, il y a quelque chose qui n’existait pas auparavant. Vous avez insufflé votre créativité à cette nouvelle chose pour la rendre réelle. C’est maintenant une entité à part entière et elle a sa propre personnalité. 

On s’entend, il n’y a pas de cœur qui bat ou d’interaction ou de communication directe, mais il n’e...

Examinons le mindset et les affaires sous un nouvel angle. 

Ce n'est pas tout le monde qui va se sentir interpellé par le présent article. Si cela s'applique à vous, je vous invite à découvrir cette importante pièce du casse-tête de votre entreprise et de vous-mêmes. 

Prenez quelques minutes pour répondre par Vrai ou Faux aux énoncés suivants : 

     1. Les gens me disent souvent que je suis trop émotif ou sensible et que je devrais avoir la « couenne plus dure ». 
     2. Peu importe ce que j'accomplis dans une journée, je ne suis jamais 100 % satisfait, je ne me trouve jamais tout à fait « correct ». Je ne suis pas du tout comme la plupart du monde pour qui tout semble fonctionner. 
     3. La plupart du temps, je ressens les sentiments des autres autour de moi. Il m'est parfois difficile de différencier leurs sentiments des miens. 
     4. Les odeurs fortes, les foules, le bruit grugent beaucoup mon énergie. 
     5. Je suis reconnu pour m'automédicamenter avec la nourriture, l'al...

(Voici la 2e partie de l'article. Cliquez ici pour lire la première partie.)

Il est important de comprendre que certains automatismes sont une fonction primordiale à notre survie. Nous ne voulons pas être conscient de tous les comportements que nous adoptons, ex : notre respiration est automatique et c’est parfaitement bien comme ça. Imaginez le tracas si nous devions agir consciemment en tout temps pour contrôler notre respiration. Par ailleurs il est tout à fait possible de respirer consciemment et c’est parfois très bénéfique dans des situations de stress ou d’anxiété. 

Lorsque je parle de rectifier nos automatismes, je parle plutôt de ceux qui peuvent être nocifs pour notre santé physique, mentale et morale. 

Voici un exemple pour illustrer ce que je viens d’énumérer.

Réfléchissons à notre engagement concernant notre revenu.

Lorsque nous commençons en affaires, nous sommes souvent frileux à l’idée de mettre des objectifs financiers plus élevés que nous sommes habitués de vo...

En tant qu’entrepreneure et coach, la façon dont je perçois le « mindset » n’est pas seulement attribuée au mot « mindset ». C’est beaucoup plus profond et bien plus large. C’est un concept qui peut parfois être ardu à concevoir.

Lorsque nous observons l’esprit (mind) avec tous ses automatismes, toutes ses pensées et ses perceptions, plusieurs d’entre nous ne perçoivent qu’une minime parcelle de sa puissance et de ses capacités.

La réalité de la « pleine conscience » peut sembler invraisemblable lorsque nous ne sommes pas à l’écoute de nos pensées et émotions et lorsque nous vivons en grande partie sur le pilote automatique.

Ce mode automatique est, en quelque sorte, une façon par laquelle nous avons été conditionnés. Plusieurs d’entre nous sont peu habitués à observer consciemment ce que nous percevons à l’intérieur de nous.

Certains leaders appellent ça le « Petit Moi ». Ce Petit Moi représente la somme de ce que nous croyons être, ce qui est souvent bien loin de ce que no...

Notre culture nous demande souvent de nous « surpasser ». Nous croyons, à tort, que nos émotions, nos réactions « négatives » sont toxiques pour nous et pour les gens qui nous entourent. 

Nous croyons aussi, souvent à tort, que si nous voulons avoir du succès, nous devons penser « positivement », préférablement en tout temps! 

Nous estimons que les pensées « négatives » créent de mauvaises vibrations, que tout ce qui a une connotation négative est mauvais. Avoir de la peine peut même être perçu comme inadéquat dans la culture du succès à tout prix. La colère est aussi qualifiée de très mauvaise. Le fait de se sentir moche lorsqu’il nous arrive quelque chose de difficile n’est pas vraiment permis. 

Ceux et celles qui se sont intéressés par enseignements entourant la « Loi d’attraction » pensent souvent que l’on doit absolument nager dans un univers rose, ultra positif, rempli de licornes et de Calinours pour être en mesure de créer notre réalité. 

Avez-vous déjà pris un recul et ...

En tant que leader, nous sommes souvent confrontés au besoin de clarté concernant nos rôles et responsabilités afin de pouvoir créer les résultats que nous voulons. 

Cela signifie de cesser le blâme, les doléances, le jugement et le commérage. Cela signifie aussi, pour certains, de cesser de nous taper sur la tête. Cela ne veut pas dire que si nous décidons de devenir plus clairs, cela se fera en claquant les doigts. 

Pour grandir et nous élever en conscience, nous devons faire face aux patterns et comportements qui créent des obstacles à notre croissance. C’est à ce moment-là où nous devenons aptes à nous élever à un tout autre niveau. 

Cela peut sembler frustrant et parfois impossible à atteindre, car cela prend énormément de courage d’assumer notre clarté. 

Pour atteindre un mindset proactif, nous devons observer la façon dont nous communiquons avec les autres. C’est l’indication miroir de ce qui se trame à l’intérieur de nous et qui nous indique notre niveau de clarté. C...

Gemma était dans la mi-cinquantaine lorsqu’elle a acheté son entreprise, un fonds de commerce pour lequel elle était employée depuis plusieurs années. 

Elle n’arrivait pas à dire aux gens qu’elle était maintenant la propriétaire de cette entreprise connue dans son domaine. Elle craignait de se faire juger; elle avait peur de perdre, peur de déplaire. 

Elle ne croyait pas que c’était un problème pour elle. Elle vivait dans son entreprise comme si elle était encore l’employée que les gens connaissaient et côtoyaient. Pour elle, ce n’était pas un obstacle. 

Après avoir pris du temps pour analyser et travailler ce point dans un programme de coaching avec Coaching B, Gemma a fait d’importantes prises de conscience. Elle s’est rendu compte qu’elle mettait elle-même des obstacles à la croissance de son entreprise, qu’elle était celle qui l’empêchait d’atteindre les objectifs qu’elle se fixait. Tout ça, de façon inconsciente. 

Lorsqu’elle a finalement compris ce qui se cachait derrière ...

Voyons quelques situations qui peuvent survenir en affaires :

* Un client insatisfait envoie un courriel stressant avec quelques illustrations des erreurs que nous ou un membre de notre équipe avons faites ;
* Nous réalisons que nous n’avons fait aucun profit, car nous avons omis de vérifier nos dépenses ;
* Nous n’atteignons pas un objectif financier ;
* Nous n’avons pas entendu l’alarme du cadran réveil et sommes vraiment en retard pour une réunion importante ;
* Le lancement d’un de nos produits ne se passe pas comme prévu ;
* Nous constatons qu’un de nos employés nous a volé

ou...

* Nous ne recevons pas un courriel important.... (comme ceux que nous recevons chaque semaine de Coaching B !) 

Toutes ces situations (et bien d’autres…) arrivent dans toutes les entreprises. 

La question qui tue... Par où commencer ? 

Je veux vous faire réfléchir sur cette question… non pas parce que je veux que vous mettiez de côté vos émotions pour focaliser uniquement sur les stratégies. Au c...

La première clé pour développer votre mindset d’abondance est la croissance. 

Je vais vous expliquer comment adapter cette clé à votre réalité, mais avant, découvrons la « Mentalité de Manque ». 

Prenons l’exemple des contes de fées… 

La princesse fragile (ou la femme désorganisée ou sans défense) rencontre l’homme costaud (ou grossier ou hargneux). Ils se fréquentent sans trop de bonheur. Arrive enfin un sauveur (prince gentil, fort, intelligent) qui secourt la princesse. Ils vécurent heureux et eurent de nombreux enfants… 

Il y a différentes versions de ce que je viens de raconter, mais chaque fois, c’est sensiblement le même déroulement. La fin est toujours la même, mais avant celle-ci, il y a généralement un événement de libération… une fin en soi… 

Lorsqu’une personne fréquente la « Mentalité de Manque » (l’homme grossier ou hargneux), elle est souvent gouvernée par la croyance qu’il y a une fin et qu’un jour elle arrivera à destination… 

C’est une croyance. La fin n’existe ...

Certains moments de l'année ou de la vie sont particulièrement propices à l'engagement. Le jour de l'an, le début de l'année scolaire, le début d'une saison, une naissance, un mariage, etc. En entreprise c'est la même chose, il y a des moments qui intensifient l'enthousiasme pour l'engagement. L'embauche d'un nouvel employé, le lancement d'un nouveau produit, le début de l'année fiscale, l'acquisition d'un gros client, etc. ne sont que quelques exemples.

Sans toutefois généraliser, ce processus peut parfois devenir lourd pour certains d'entre nous, en raison de la pression que nous nous mettons pour que cela fonctionne. Le fait de focaliser sur un moment en particulier pour s'engager, met une grande emphase sur l'atteinte du succès pour cet engagement. Pour certaines personnes, cela peut faire resurgir des peurs reliées au manque de confiance et créer de l'anxiété de performance.

On peut contourner cette difficulté en commençant petit, en rendant le processus naturel.

Vous serez ...